Dans son Hors série « Ecrire et se faire éditer » paru le 21 mai, LIRE MAGAZINE LITTERAIRE consacre quelques pages aux ateliers d’écriture.
J’ai eu le plaisir de répondre à Gladys Marivat, à propos des ateliers en général (privilège de l’expérience, j’en connais plusieurs ! ) et de ceux que j’anime pour le magazine.
J’ai aussi parlé de mon activité de coach littéraire et la journaliste a conservé ce mot de « sherpa » par lequel j’aime qualifier mon travail avec les auteurs.
En quoi le coach est-il aussi un Sherpa ?
Aucun rapport avec le fait de porter des charges lourdes !
Le Sherpa indique des pistes, réconforte, permet de dépasser les passages dangereux.
Le Sherpa, c’est celui qui accompagne vers le sommet. Mais il ne brandit pas le drapeau.
C’est votre livre, que vous présenterez à un éditeur. Pas le mien !
J’ignore si le Sherpa tibétain boit du champagne avec l’alpiniste. A vrai dire, je ne le pense pas.
Moi, je partage les victoires, le manuscrit terminé, la réponse favorable de l’éditeur !
Je suis donc une Sherpa à la française !